La clause de rendez-vous est acquise, il n'y a pas de problème : nous sommes en phase à cet égard.
Pour ce qui est de l'amendement n° I-339, le fait que la réforme de la DGF des départements ne s'applique qu'en 2005 me pose un problème en raison de la formulation proposée : elle donne le sentiment qu'on légifère pour une année.
D'un côté, des parlementaires s'interrogent sur la pérennité des engagements de l'Etat et, de l'autre, sur un texte qui correspond quand même à un engagement lourd - il s'agit de l'avenir des dotations -, vous nous proposez de limiter l'application de la mesure à une année. Ensuite, un bilan serait établi et, le cas échéant, une nouvelle loi serait votée.
Je préférerais, monsieur le rapporteur général, que l'on procédât à une évaluation au bout d'un an, puis au bout de deux ans, et qu'à cette occasion l'on décide, le cas échéant, de modifier les mesures en vigueur, plutôt que de retenir un dispositif qui ne serait applicable a priori que pour un an.
Cette démarche me choque un peu : elle ne me paraît pas cohérente avec les mesures que nous prenons par ailleurs. Je préférerais un système prévoyant une clause de rendez-vous, avec, le cas échéant, la possibilité d'amendements.
C'est pourquoi je souhaiterais, monsieur le rapporteur général, que vous retiriez votre amendement au profit de la formule que je vous suggère.