je ne suis pas un spécialiste du sujet : je siège à la commission des affaires sociales et non à la commission des lois.
Pour nous, comme pour l'opinion publique, ces dérives - récidive, délinquance sexuelle - sont inadmissibles.
Vous préférez, semble-t-il, en rester à la situation actuelle et arguez d'un manque de moyens financiers.