Monsieur le président, messieurs les ministres, mes chers collègues, je vous prie par avance de bien vouloir m'excuser, car je ne pourrai éviter de répéter certains des propos qui ont été tenus par MM. Xavier Bertrand et Philippe Bas, mais mon devoir est de rapporter aussi fidèlement que possible les prises de position de la commission des affaires sociales du Sénat, tout du moins de la majorité de ses membres, puisque M. Fischer et ses collègues, comme les membres du groupe socialiste, ont choisi de s'opposer au projet de loi de financement de la sécurité sociale.