Intervention de Philippe Marini

Réunion du 6 juillet 2005 à 15h00
Orientation budgétaire — Suite d'un débat sur une déclaration du gouvernement

Photo de Philippe MariniPhilippe Marini, rapporteur général :

Merci de le reconnaître, madame la présidente.

Il faut sortir du carcan dans lequel nous nous trouvons, d'une situation où les marges de manoeuvre sont excessivement restreintes, et cela par l'inventivité, par la liberté de l'esprit, mais aussi par le bon maniement des outils budgétaires et par la discipline budgétaire.

Aujourd'hui, toutes les marges disponibles, s'il en est, doivent être consacrées à cette priorité à l'emploi qui a été exprimée tout récemment par le nouveau Premier ministre, ce qui suppose, bien entendu, d'avoir des marges de manoeuvre.

Si en 2004, comme cela a été rappelé, il y a eu quelques plus-values de recettes fiscales, pour 2005, les estimations auxquelles tant le Gouvernement de son côté que la commission des finances du Sénat du sien ont procédé montrent qu'il faut s'attendre non pas à des plus-values mais à des moins-values.

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