Après cette parenthèse, je voudrais terminer en rappelant deux choses, mes chers collègues.
D'abord, si nous n'y prenons garde, nous risquons bien de nous placer dans une situation où il ne sera plus question de baisse des impôts, de redéploiements par suppression de niches fiscales ou de diminution du taux facial de l'impôt sur les sociétés, mais où nous entendrons à nouveau parler de hausse des impôts et des prélèvements obligatoires !
Je ne voudrais pas que l'on se méprenne : telle est l'issue vers laquelle nous risquons d'être entraînés et qu'à mon sens il faut éviter, car il ne faudrait pas que nous nous retrouvions dans la situation de 1995, où, du fait des contraintes, du fait du passé, ...