Ensuite, le pire est, à notre sens, de subir des choix non explicités et non préparés par un vrai débat public. A cet égard, le concept, dont il faut définir le cadre et les modalités, de plan de redressement mérite d'être évoqué en cette fin - déjà - d'une législature, marquée d'avancées réelles mais aussi de quelques faux pas, qui pourrait être le moment de la pédagogie, de l'explicitation des choix et de la préparation de l'avenir.
Pour ce qui la concerne, la commission des finances estime que deux années ne seront pas de trop pour élaborer, naturellement en faisant appel à des efforts partagés, de nouvelles perspectives.