Je tiens, en quelques mots, à répondre à M. le président de la commission des finances : sur ces sujets, je suis très ouvert aux critiques, aux suggestions et aux propositions, à condition que l'analyse qui les fonde soit juste.
Nous sommes, les uns et les autres, dans des situations complexes. Le processus de décision politique, au sens noble du terme, exige que chacun prenne la mesure de son rôle et, bien entendu, que les contributions apportées permettent d'arrêter les meilleures décisions à prendre au service des Français.
Je ne demande donc qu'une chose : que toutes ces questions soient vues de manière juste.