M. Josselin de Rohan. « Gardez-vous de demander du temps, le malheur n'en accorde pas » disait Vergniaud. Vous savez, monsieur le Premier ministre, qu'il vous faut agir vite et fort. Nous vous soutiendrons dans votre volonté de remettre la France en marche et de lui redonner foi dans son avenir.