Intervention de Michel Mercier

Réunion du 16 février 2005 à 21h30
Modification du titre xv de la constitution — Article 3

Photo de Michel MercierMichel Mercier :

Et il faut également qu'il pleuve régulièrement pour que l'herbe pousse et reste verte chez nous, et pas seulement chez nos voisins ! Car s'il y a bien une règle qui s'applique régulièrement en France, notamment dans les périodes électorales, c'est bien celle qui veut que l'herbe soit toujours plus verte dans le pré d'à côté.

Encore une fois, les motions sont votées par des majorités, et un gouvernement qui a une majorité est à l'abri des surprises. Les craintes que l'on pourrait concevoir sont de nature théorique, même si, disant cela, je mesure tout à fait les enjeux. Mais, pour comprendre ces craintes théoriques, je n'en dois pas moins les corriger par l'existence d'un fait majoritaire, constant sous la Ve République.

Permettez-moi deux questions techniques. La première s'adresse à notre excellent rapporteur.

M. Gélard trouve très naturel que le Parlement puisse s'exprimer autrement que par des votes. Je serais assez curieux de savoir comment !

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