Le Gouvernement n'est pas favorable à la taxation des entreprises qui licencient, et ce pour des raisons d'abord d'attractivité, mais aussi parce que la question du bonus ou du malus, évoquée dans le récent rapport de M. Camdessus, doit être examinée très légitimement par les partenaires sociaux lors de la préparation de la nouvelle convention d'assurance chômage qui doit être mise en place d'ici quelques mois.