Madame Bricq, je vous ai écoutée très attentivement, comme toujours. Je ne suis pas du tout d'accord avec ce que vous avez dit, mais vraiment pas du tout d'accord. Il m'a semblé assez habile de votre part d'appeler au secours mon ami Joël Bourdin, un sénateur de très grande qualité qui travaille beaucoup sur ces questions. Je le trouve cependant quelquefois un peu trop keynésien dans son approche.