Au demeurant, le texte prévoit plusieurs mesures consacrant la réalité des zones de revitalisation rurale, mais je ne les énumérerai pas afin de ne pas allonger mon intervention.
Il est vrai que l'on ne peut jamais être content à 100 %. A cet égard, monsieur le secrétaire d'Etat, je reviens un instant sur un amendement que j'avais déposé et que M. le rapporteur a eu la grande intelligence de reprendre et de défendre avec talent et efficacité : il était proposé d'appliquer le taux de TVA à 5, 5 % à la transformation des bâtiments agricoles.
Il ne s'agit évidemment pas de compliquer la tâche du Premier ministre, à qui je veux d'ailleurs rendre hommage car il s'est beaucoup battu, notamment à Bruxelles, pour obtenir des taux de TVA réduits en faveur des restaurateurs. Si une telle mesure est importante, elle l'est peut-être davantage dans l'espace rural et dans nos montagnes.