Nous voterons l'amendement présenté par M. Repentin et le groupe socialiste pour que les bergers ne se sentent pas complètement abandonnés par la représentation nationale.
Le « plan loup » proposé par le Gouvernement ne sera pas suffisant pour résoudre l'ensemble des problèmes auxquels est actuellement confronté le métier de berger.
Comme je l'avais dit en première lecture, les bergers vivent les plus grandes difficultés dans nos alpages : il est de la responsabilité du Gouvernement et du Parlement de leur venir en aide. Même si nous n'avons pas déposé d'amendement sur ce point en deuxième lecture, nous pensons qu'il est indispensable de faire un geste fort en direction de cette profession. D'ailleurs, vous l'avez souligné vous-même, monsieur le ministre, nos alpages seront bien plus en danger s'il n'y a plus d'éleveurs pour y faire paître leurs troupeaux.