Non, c'est la réalité !
En 2003, le taux de chômage descend à 8, 9 %, il y a moins de contrats aidés, et cette situation est due notamment à la décision de mettre fin progressivement aux emplois-jeunes pour préparer les contrats de retour à l'emploi au sein du plan de cohésion sociale.
En même temps, la croissance est à 0, 5 %, le chômage - et ce n'est pas rien - remonte à environ 10 %, mais on n'a pas traité pour autant le chômage de masse, à la différence du Danemark, dont le taux de chômage passe de 12 % à 6 %.