Comme mes collègues, j'aurais aimé évoquer la délinquance juvénile, mais je n'en aurai pas le temps.
Nous partageons votre avis, monsieur le garde des sceaux, selon lequel, « pour qu'il y ait une justice, celle-ci doit impérativement être un mélange personnalisé de prévention et de répression ». Il convient désormais de passer à l'application. Les moyens prévus dans ce projet de budget constituent un réel progrès. Toutes les remarques formulées au cours de ce débat montrent cependant qu'ils ne sont pas encore suffisants pour assurer dans notre pays une justice performante et équitable. Nous vous faisons confiance, monsieur le garde des sceaux, pour qu'ils s'améliorent encore dans les années à venir.