J'ai apprécié, monsieur le rapporteur, que vous citiez la loi du 6 juillet 1989, aux termes de laquelle il ne devrait plus y avoir de discriminations dans notre pays ; j'ai également apprécié le propos du ministre, dont il ressort que les dites discriminations existent tout de même ! Ce n'est pas parce que l'on dit qu'il ne faut pas de discriminations qu'elles disparaissent ; je crois même, comme l'a dit ma collègue communiste, qu'elles augmentent.
J'ai noté que tout le monde semble s'engager à lutter spécifiquement contre les discriminations et, comme je n'aime pas mettre dans l'embarras mes camarades communistes et socialistes, je retire mon amendement.