Pour terminer, je dirai que rompre avec la violence est un acte courageux : c'est accepter de surmonter sa peur, c'est se battre pour ne plus être battue.
Madame la ministre, je sais combien ce combat vous tient à coeur et je vous remercie personnellement et au nom de la délégation du Sénat aux droits des femmes des mesures que vous avez déjà prises. Sachez que nous serons à vos côtés pour briser les tabous et les préjugés afin d'anéantir ce phénomène, véritable fléau qui n'est pas digne d'une société qui se dit civilisée.