Puis, en 2005, pour les raisons que vous connaissez, changement de Gouvernement ! Et comme j'avais lu la déclaration du 3 juillet 2002, j'ai lu avec la même attention la déclaration du 8 juin 2005. À ma grande surprise, je n'ai trouvé aucune référence aux prélèvements obligatoires ou aux déficits.
J'en conclus que le nouveau Premier ministre, constatant que les engagements pris par son prédécesseur n'étaient pas en bonne voie de réalisation, a préféré s'abstenir d'en parler, c'est-à-dire de remuer le couteau dans la plaie.