M. Jean-François Copé, ministre délégué. Lorsqu'en 1999 la gauche a récupéré 10 milliards d'euros de plus-values de recettes fiscales sur le travail des Français, elle n'en a consacré qu'à peine un tiers au désendettement. Nous, nous avons eu à coeur de consacrer la totalité des plus-values fiscales au désendettement, c'est-à-dire au service de nos enfants et de leur avenir !