Monsieur le président, monsieur le secrétaire d'État, mes chers collègues, les 35 heures constituent un sujet extrêmement sensible, que nous abordons lors de l’examen de chaque projet de loi de financement de la sécurité sociale – de manière indirecte, je le concède –, au moment de la discussion du « panier fiscal ».
M. Jean-Pierre Fourcade vient d’évoquer les conséquences économiques des 35 heures sur la compétitivité et la croissance ; je m’intéresserai pour ma part à leur coût sur les finances publiques.