Dans les faits, la création de plus de 400 000 emplois supplémentaires a permis à notre protection sociale d’engranger un excédent de cotisations. Je n’aurai pas la méchanceté de vous rappeler l’état des finances sociales d’alors. Sur une base salariale médiane basse de 1, 3 fois le SMIC, l’apport net a été de plus de 1, 8 milliard d’euros. Cette réalité tranche avec le gouffre abyssal du déficit dans lequel la majorité a depuis plongé notre protection sociale.
Monsieur le secrétaire d'État, mes chers collègues, je terminerai par quelques observations.
Si les 35 heures sont, comme l’affirme le Premier ministre, « une faute que nous aurons du mal à effacer », …