Je ne reviendrai pas non plus sur la logique suicidaire pour notre pays qui consistait à dire que le seul avenir résidait dans un partage malthusien du travail et non dans une volonté de développer l’activité et la croissance.
Tous ces éléments caractérisent bien cette erreur majeure, cette lourde responsabilité que l’ensemble de nos compatriotes et de notre économie continuent à payer.
Essayons de retracer objectivement ce qui s’est passé.
Dans le prolongement des 35 heures, la baisse du temps de travail en France a été de 4, 5 %. À cette époque, nous connaissions une très forte croissance mondiale. Cependant, aucun pays n’a adopté ce dispositif.