La volonté du Gouvernement a été de rompre définitivement avec cette logique malthusienne.
À aucun moment au cours de la crise, nous n’avons renoué avec les méthodes de Martine Aubry, qui consistaient à recourir à la préretraite ou à encourager les étudiants à rester le plus longtemps possible sur les bancs de la faculté pour ne pas encombrer les statistiques du chômage.
Nous avons préféré au contraire miser sur l’apprentissage et l’alternance, qui sont les meilleures voies d’intégration pour nos étudiants.