J'ai écouté le plaidoyer de nos collègues MM. Pastor et Fortassin, et j'ai compris que l'unanimité, à un certain moment, pouvait présenter un intérêt sur certains dossiers.
Je voudrais tout simplement rappeler la position de la commission, qui a émis un avis de sagesse en prenant soin de demander l'avis du Gouvernement.
Vous avez cité, mes chers collègues, des compagnies particulières qui sont tout à fait méritantes et qui ont été mises en place voilà plus de quarante ans, mais je propose à notre assemblée de suivre, dans le cadre d'une sagesse plutôt défavorable, exceptionnellement, l'avis du Gouvernement.