Ce sont ces champs d’intervention de l’État qui sont, une fois encore, frappés par la régulation budgétaire.
De la même manière, l’article 4 du présent texte consacre le report d’un prêt d’environ 1, 5 milliard d’euros à la Côte d’Ivoire. Faut-il en conclure que la coopération internationale et l’aide au développement passent après la stabilisation des marchés financiers ?
Venons-en maintenant à ces fameux 360 milliards d’euros prévus à l’article 6.
Les chiffres donnent le vertige, ou le tournis, mais osons quelques comparaisons : 360 milliards d’euros, c’est dix fois le montant du programme de rénovation urbaine de l’ANRU