Par ailleurs, le rapporteur général l’a également souligné, le taux d’épargne est très élevé dans notre pays. Aujourd’hui, l’activité donne des signes d’essoufflement, et la disposition dont nous débattons ne semble pas de nature à accompagner une reprise.
Enfin, cette mesure a un coût fiscal, puisqu’il s’agit de défiscaliser de l’épargne. C’est là une troisième raison qui me semble devoir motiver le rejet de cet amendement.