C’est cette réalité que l’on veut aujourd'hui masquer ou, tout du moins, sous-estimer. Nous prenons acte du souhait exprimé par M. le rapporteur général d’approfondir la question. Nous sommes d’ailleurs dans le même cas d’espèce que pour les subprimes. Il y a ainsi, nous semble-t-il, toute une série de domaines dans lesquels le Gouvernement devrait prolonger sa réflexion pour prendre des décisions.
Le sujet qui nous préoccupe ici est porteur de nouvelles difficultés et sans doute, je le répète, de futurs scandales.