... quatre ans et vous nous dites que les temps ont changé. Soyez cohérents !
En fait, la question n'a jamais été posée officiellement à la Commission européenne.
On nous oppose toujours l'exemple du Portugal. Je vous le répète une fois encore : comparaison n'est pas raison. Établissez un rapport, étudiez ce projet sérieusement ; ensuite, posez la question à la Commission et affrontez-la.
Mon collègue et ami Daniel Raoul cite souvent, fort à propos, un personnage célèbre selon lequel « là où il y a volonté, il y a toujours un chemin ». Mes chers collègues, au lieu de dire « il se peut que la Commission réponde non », « il est probable qu'un certain nombre de cessions d'actifs devront être opérées », posez clairement le problème à la Commission européenne. À ce moment-là, nous saurons à quoi nous en tenir.
Pour l'heure, les membres du groupe socialiste se rallient à l'amendement n° 209.