Nous avons déjà eu ce débat dans le cadre de l'examen de la loi relative aux libertés et aux responsabilités locales.
Il ne faut pas, en prévoyant d'associer « les autres personnes morales concernées », ouvrir la boîte de Pandore et se trouver en présence d'une série de partenaires qui rendraient et la structure et la concertation sur le PLH impraticables.
Toutefois, à propos de la demande de M. Seillier, qui concerne les associations d'insertion, et compte tenu - vous le savez, monsieur Seillier - de l'effort notable que nous consentons dans cette loi à l'égard de ces associations, notamment au travers du très important article 51, qui permet de conjuguer l'amortissement Robien et une déduction forfaitaire fiscale très large pour que, précisément, les associations d'insertion puissent intervenir dans la problématique du logement très social, je m'en remets à la sagesse de la Haute Assemblée.