Mme le rapporteur évoque une vraie difficulté, qui ne m'est pas totalement étrangère puisque la communauté urbaine de Lille, par la voix de son président Pierre Mauroy, a soulevé cette question. Les friches industrielles représentent un réel problème pour les grandes agglomérations concernées.
Cependant, en tant que ministre, j'ai besoin avant de pouvoir me prononcer d'une étude d'impact précise sur cette proposition, à laquelle le Gouvernement n'est pas a priori défavorable. Je préférerais donc, madame, que vous retiriez l'amendement. A défaut, je devrais recourir à l'article 40 de la Constitution.