Je vous remercie, monsieur le ministre, de toutes les informations que vous avez bien voulu me transmettre.
Nous le savons bien, la pêche française doute très fortement de son avenir. En vingt ans, la flotte de notre pays a été réduite de 52 %, et de fortes menaces continuent à peser sur les petits armements, en particulier sur la pêche artisanale. Les territoires sont donc menacés.
Quoi qu'il en soit, aviculture, pêche : dure dure, la vie de ministre !