Je partage très largement les observations formulées par M. le rapporteur.
Je le confesse, monsieur Mézard, je préfère Gide à Balzac ! C’est ainsi ! Il est assez paradoxal qu’un admirateur de Balzac tel que vous m’ait qualifié de « citoyen ministre » : on ne peut pas à la fois aimer l’écrivain de la bourgeoisie et vouloir lui couper la tête !