Madame la secrétaire d'Etat, je suis heureux que la réponse du Gouvernement me soit transmise par votre voix autorisée, vous qui connaissez bien, et c'est une litote, la situation de notre département !
Personne ne conteste la nécessité des contrôles, qui sont la condition d'une eau de qualité.
Votre réponse comporte deux éléments positifs : la fréquence des analyses pourrait, dans certains cas, être réduite, et les communes de moins de 500 habitants peuvent obtenir des subventions de la part de l'agence de l'eau et du conseil général. Tout cela va en effet dans le bon sens.
Je doute cependant que cela puisse nous donner totalement satisfaction, car, quand bien même les coûts ne seraient supérieurs que de 40 % - mais on a vu que l'augmentation pouvait aller jusqu'à 400 % - cela resterait impressionnant. Certes, l'intercommunalité pourrait constituer une partie de la solution. C'est sans doute une voie qu'il est opportun d'emprunter en la matière.