... parce que vous aimeriez bien avoir le monopole du coeur, mais vous ne l'avez pas !
Le bilan du Gouvernement en matière sociale, chacun le sait, est digne d'éloges.
Dans ce contexte agité, le projet de loi que nous examinons aujourd'hui constitue une sorte de respiration qui nous donne l'occasion de mettre en perspective nos travaux passés et de préparer l'avenir.
Je présenterai brièvement demain les axes de travail retenus par la commission des affaires sociales sur l'assurance maladie.
Nous souhaitons contribuer au « service après vote », monsieur le secrétaire d'Etat, et avancer dans la voie tracée par la réforme, car nous avons le sentiment que beaucoup reste à faire.