Autant j'ai trouvé la teneur générale de l'intervention de M. Fischer argumentée et sérieuse, même si je n'étais pas d'accord avec lui, autant je suis surpris par ce que je viens d'entendre.
Madame la sénatrice, comment osez-vous reprocher au ministre de la santé et de la protection sociale de dire que le déficit est de 23 000 euros par minute et faire croire que c'est pour culpabiliser les Français ? Je ne cherche à culpabiliser personne. Je dis simplement la vérité.
Ce n'est pas parce que, entre 1997 et 2002, vous n'avez rien fait que nous n'allons pas agir.