La proposition française, qui consiste à évoluer progressivement d’un G8 vers un G14, prend tout son sens pour porter ces projets, qui sont naturellement à l’échelle internationale.
Hier, le conseil Écofin a repris l’engagement des participants du G4 d’assurer un soutien sans faille des établissements financiers déterminants.
Certes, à vingt-sept, compte tenu des spécificités de chacun et de l’urgence dans laquelle il nous faut parfois agir, il est logique que les opérations s’effectuent le plus souvent à l’échelon national. Quand on doit arrêter en deux heures, au milieu de la nuit, les solutions pour sauver une banque, il vaut mieux ne pas avoir à réveiller ses vingt-six homologues !