Et même si ces interventions sont nationales, les États doivent être attentifs à leurs conséquences pour les autres États et pour les banques concurrentes.
L’État n’agit pas pour sauver des dirigeants - ceux de Dexia ont quitté leurs postes -, il le fait pour protéger les Français, pour protéger nos entreprises, nos emplois, notre économie.