Le Gouvernement souhaite simplement qu’il y ait en France un service public puissant et actif, mais dont le coût ne soit pas disproportionné par rapport à son efficacité.
Monsieur Collin, vous avez conclu en déclarant qu’il ne fallait pas être « résigné ». Mais je suis bien d'accord avec vous ! D’ailleurs, je ne crois pas que Nicolas Sarkozy ou François Fillon soient « résignés ».