La rédaction du projet de loi a inquiété bon nombre de personnes sensibles aux besoins et aux intérêts des jeunes sourds et malentendants. Elles craignent en effet que l'adoption des articles 6, 7 et 8 n'entraîne de graves conséquences pour les jeunes sourds.
Il est important de prendre en compte la spécificité du handicap de surdité, de garantir la scolarisation et l'accompagnement des enfants sourds, c'est-à-dire d'assurer à chacun l'accès à une scolarisation adaptée à cette déficience, avec, dans chaque classe où ces enfants seront présents, des professionnels qualifiés et compétents.