Le rapporteur général de la commission des affaires sociales, Alain Vasselle, l’a indiqué avec force lors du débat sur les prélèvements obligatoires : quelle que soit l’ampleur des décisions à prendre, celles-ci devront être fortes. On ne pourra pas indéfiniment mettre en place une réduction des dépenses ; il faut envisager une modification des recettes.