Quoi qu’il en soit, comme je l’annonçais en préambule, le présent PLFSS nous paraît receler des raisons de ne pas totalement désespérer. Et ce, sans même s’adonner à des vaticinations hasardeuses.
En effet, j’en arrive à la troisième conséquence du caractère essentiellement conjoncturel de la dégradation des soldes.
Dire que la récession est responsable de 65 % du déficit cumulé de 2009, c’est dire, en miroir, que le déficit structurel, lui, ne représente que 35 % de ce déficit et qu’il ne s’est pas accru.