Si la loi HPST a beaucoup fait en matière hospitalière, il nous semble que, pour ce qui concerne le secteur ambulatoire, elle s’est arrêtée au milieu du gué. Je n’aurai, pour le justifier, qu’à rappeler les propositions que nous avons formulées au moment de son examen et qui, hélas ! n’y ont pas été insérées.
Ces propositions s’articulaient autour de trois axes : premièrement, promouvoir la formation au métier de médecin généraliste de premier recours, en particulier, en organisant une véritable spécialité en quatre ans ;…