Monsieur le président, je défendrai en même temps les amendements n° 141 et 142 rectifié.
Le problème principal posé en matière de santé publique par la pratique du jeu est évidemment l’addiction.
Le traitement du surendettement ou de l’endettement qui résulte d’une telle addiction est un autre sujet, pour lequel nous devrions également rechercher des solutions adaptées.
La problématique de santé publique est réelle. Elle impose que les contributions sociales appliquées aux enjeux et mises de joueurs soient « mutualisées » pour traiter le cas des joueurs pathologiques.
C’est le sens de nos amendements.