À ce stade, toute participation croisée de structures différentes nécessiterait de donner à Gaz de France la liberté de nouer, au sein de son capital, des alliances, y compris par le biais de participations importantes susceptibles de renforcer l'entreprise. Mais nous nous posons la même question : devons-nous donner à Gaz de France, comme à toute entreprise normale, la possibilité de procéder à ces alliances, y compris par le biais d'augmentations de capital ?