Il nous revient simplement d'indiquer notre position sur cette importante possibilité de développement économique.
Ce sont bien les actionnaires de ces grands groupes qui, sur l'initiative de leur président, décideront d'une éventuelle fusion. Nous devrons alors nous prononcer, mais uniquement sur la part du capital que l'État pourra détenir dans Gaz de France pour permettre cette fusion. Ce sera un deuxième temps, mineur mais indispensable, que j'espère très prochain.
Je rejoins mon ami Ladislas Poniatowski, qui souhaitait ce matin que ce débat législatif ne soit pas tronqué, avec un seul passage au Sénat en juillet, sans suite. Ce serait en effet un signe de faiblesse coupable sur le plan économique et sur le plan de l'emploi.