Je pense notamment à ce jeune, « mort de trouille » disait-il, à l’idée de devoir travailler auprès de SDF, et qui concluait pourtant le récit de son expérience en reconnaissant avoir découvert des personnes qui avaient connu, un jour, une existence semblable à la sienne et dont elles n’étaient encore pas si éloignées.