Je crains que la réponse qui nous est souvent faite, selon laquelle les administrations de l'Etat sont mobilisées prioritairement autour des quelque 750 zones urbaines sensibles, ne vous permette pas d'être au rendez-vous que vous avez fixé à celles-ci, monsieur le ministre.
En effet, l'observatoire national des ZUS a montré que, paradoxalement, l'action publique est proportionnellement moins forte dans les ZUS que dans les zones qui ne sont pas éligibles à la politique de la ville. C'est assez étonnant, mais c'est ce qu'indique l'observatoire national des ZUS.
La deuxième question que je soulèverai est le corollaire de la première. Il s'agit sans doute pour vous d'un point de détail, monsieur le ministre, mais à mes yeux ce sujet est très important.
Soyez à nos côtés pour défendre les adultes-relais.