Oui, monsieur le président.
Au final, on pourrait se retrouver avec GDF privatisé et sans projet industriel, et facilement opéable.
En somme, c'est au nom du patriotisme économique que le Gouvernement demandait au Parlement de privatiser GDF, afin de porter secours à une entreprise privée. C'est au nom de ce même patriotisme qu'au final nous pourrions nous retrouver avec une entreprise française susceptible de passer sous le contrôle d'un groupe étranger !