Monsieur Gaillard, la situation du marché de l’art n’est en effet pas très florissante. Les propositions de loi que vous avez cosignées avec votre collègue Philippe Marini montrent d’ailleurs tout l'intérêt que vous portez à ce sujet.
Pour remédier à cette situation, j’ai effectivement présenté, le 2 avril dernier, un plan de renouveau pour le marché de l’art français, qui comporte une trentaine de mesures, parmi lesquelles le prêt sans intérêt.
À cet égard, nous sommes en train de discuter actuellement avec l’Association française des banques pour trouver des établissements partenaires, lesquels se « rémunéreraient » par le biais des dispositifs fiscaux prévus en faveur du mécénat.