Je conclus, monsieur le président !
Certains d'entre eux n'ont pas de réponse, du moins immédiate, à apporter aux problèmes de leurs enfants. Pour d'autres, plus défavorisés, le temps passé à la recherche d'un emploi ou de moyens de subvenir aux besoins de la famille va souvent de pair avec ces difficultés. Ce n'est pas pour autant qu'ils souhaitent renoncer à accomplir eux-mêmes l'éducation de leurs enfants.
Enfin, pour d'autres encore, la sanction financière survenant après l'échec, vous ne ferez qu'aggraver l'insolvabilité de la famille.
Comme le dit si bien le président de l'UNAF, vous ne ferez qu'« ajouter du malheur au malheur » !